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PRESS

WHAT PEOPLE SAY

Aline MORI

S'il est vrai que l'imaginaire est toujours à l'œuvre, dans toute production artistique,          il s'agit, dans le travail de Bergmark, d'objets naturels, collectés au fil des promenades, pierres, écorces, bois flottés, dont les formes originales et originelles ont été détournées, assemblées; des associations improbables,     qui prennent sens, de manière totalement surréaliste, un peu comme chez Magritte où  les univers s'interpénètrent et échangent leur "matières premières", changent d'échelle, de signification, pour interpeller le "regardeur" et lui faire autrement regarder le monde.        Mais comme disait Marcel Duchamp, "c'est      le regardeur qui fait le tableau"… En effet, quelle que soit l'intention de l'artiste,                  le regardeur réinvestit l'objet, l'image qu'il découvre, d'un sens qui lui est sien, mettant   en route, à son tour, son imaginaire, à sa manière. Le titre de l'exposition "IMAGINE!", inscrit sous une forme impérative, est ainsi   une injonction incitant le Public à s'approprier ce qu'il "voit".

 

(IMAGINE - 2015)

Le Télégramme

Détournements et interprétations


Les œuvres de Bergmark sont autant                  de détournements, associations improbables, parfois, souvent, surréalistes... Contemporaines. Mais c'est aussi l’œil du public qui fait               le tableau. Il interprète l’œuvre contemplée et de nouvelles connexions naissent ainsi sous      le regard, donnant à l’œuvre de Bergmark toutes ses dimensions. Ses œuvres sont multiples, toujours source de combinaisons. Elles résultent de la sculpture, de la peinture,   de l'assemblage... Bergmark ne se donne aucune limite. Elle peut tout mettre en scène ! Son but, faire que le public s'immerge dans ses œuvres et mettre en route des réactions, des réflexions.


© Le Télégramme  (27-08-2017)

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